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Informations du 30/10/2020 :
Les messes du samedi 31 octobre, du dimanche 1er novembre et du 2 novembre sont maintenues.
Mais il n’y aura pas de commémoration des défunts dans les cimetières le 2 novembre.
Dimanche 1ier Novembre : Fête de tous les Saints.
9h30 Eglise Sainte Bernadette de Saint-Yorre : messe
11h Eglise Saint Saturnin de Cusset : messe
Lundi 2 Novembre : Commémoration des défunts.
10h Eglise Saint Vincent de Busset : Messe.
11h Eglise Saint Saturnin de Cusset : Messe.
18h Eglise Saint Front et Saint Martin de Creuzier le Vieux : Messe.
18h30 Eglise Saint Jean Baptiste de Molles : Messe.
Lundi 2 Novembre : Bénédiction des tombes.
11h15 à Busset.
14h30 à Cusset.
17h à Molles.
17h à Creuzier le Vieux.
« L’Eglise nous convie, le jour de la Toussaint : 1er novembre, à nous réjouir avec tous ceux qui vivent sans fin et sans limite de la présence et de l’amour de Dieu.
Ce sont eux que nous appelons LES SAINTS, connus ou inconnus…
Nous pouvons être dans la joie de savoir que tous nos défunts sont appelés, comme nous le sommes chacun(e), à cette allégresse éternelle. Cette année, la pandémie a empêché, pour beaucoup, de pouvoir vivre le départ de leur proche comme ils l’auraient souhaité et cela a été une grande souffrance. L’Église propose que nous priions spécialement pour eux, et pour tous les défunts, ce 2 Novembre 2020, en particulier à la messe.
En cette période du souvenir, nous vous assurons de nos sentiments cordiaux et de notre prière. »
Frère Tarcisius, curé de la paroisse et frère Jean de Dieu.
« Etre Saint n’est pas un privilège pour certains, mais une vocation pour tous. »
« Le souvenir des défunts, le soin des tombes et la prière à leur intention sont la preuve d’une espérance confiante, enracinée dans la certitude que la mort n’a pas le dernier mot sur le destin de l’homme, car l’homme est destiné à une vie sans limites, qui a ses racines et son accomplissement en Dieu. »
« La commémoration des défunts a un double sens : un sens de tristesse. Le cimetière est triste. Il nous rappelle la mort de nos proches, et notre propre mort. Mais dans cette tristesse, nous portons des fleurs comme un signe d’espérance, et même comme un signe de fête. La tristesse se mélange avec l’espérance ».
Pape François.